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Théâtre National Wallonie-Bruxelles

Persoverzicht

L'Errance de l'hippocampe / Jean-Michel d'Hoop

© Véronique Vercheval

« Plus qu’un spectacle à la trame fracturée, c’est une expérience qui croise de nombreuses disciplines: théâtre, danse, musique live, mouvements et bien sûr, la manipulation de marionnettes – marque de fabrique de la Compagnie Point Zéro – qui multiplie le nombre de personnages troubles sur le plateau. »
François Caudron, « L’Errance de l’hippocampe », recoller les morceaux au Théâtre National, dans MusiQ3, le 23.11.2021

 

« Quatre comédien/ne/s vont se donner la réplique dans cette ambiance surréaliste et contemporaine. Le décor est au service du texte et c’est tout à l’honneur du metteur en scène. »
Julia Garlito Y Romo, « L’Errance de l'hippocampe » : Histoire de mémoire, dans Le Bruit du Off, le 22.11.2021

 

LCR – Jean-Michel d’Hoop, sur BX1, le 19.11.2021

 

« Dans une esthétique parfaite, aussi envoutante que bluffante, L’errance de l’Hippocampe nous fait replonger dans l’univers lynchien avec pertinence. Les limbes de Jean-Michel D’Hoop sont jonchés de souvenirs et de troubles, mais c’est un pèlerinage mental salutaire, tant pour son personnage que pour un public assurément conquis. »
Jean-Jacques Goffinon, Focus: Cie Point Zéro | Hippocampus Highway, dans Point Culture, le 16.11.2021

 

« On y reconnaît la patte technique de la compagnie Point Zéro: sa maîtrise de la marionnette avec notamment ce charmant robot, compagnon des âmes en errance de cet hôtel quatre étoiles dans la catégorie rêverie; son travail de la vidéo, outil scénographique et dramaturgique parfaitement intégré. Dans des couloirs de cet hôtel émergent des créatures abyssales aux mouvements flottants, reprenant la métaphore océanique. »
Nicolas Naizy, Critique scènes: Un hippocampe dans les abysses de la mémoire, dans Le Vif, le 08.11.2021

 

« En travaillant l’autre oubli, la subjectivité et l’intimité, en ce théâtre où le vrai se mêle sans cesse au faux, Jean-Michel d’Hoop explore avec intelligence les zones fragiles, profondes et secrètes de la mémoire à la lisière du trouble. »
Laurence Bertels, Entre vie et mort, fragments d’amour et de souvenirs dans un hôtel désolé, dans La Libre, le 08.11.2021

 

« De formes et de styles différents, les marionnettes viennent merveilleusement rehausser le travail minutieux sur la musique ou la danse. Visages de porcelaine aux yeux flamboyants, minuscule pantin aux envolées lyriques, scaphandrier-enfant : ces étranges présences contribuent à brouiller les pistes, dans une pièce qui oscille sans cesse entre la vie et la mort. Dans L’errance de l’hippocampe , même le rideau de théâtre se fait frontière prodigieuse entre les mondes, entre le rêve et la réalité, le souvenir et le présent, l’ici et l’au-delà. Un univers où rien ne disparaît mais tout se transforme. Un territoire de métamorphoses incessantes. Et passionnantes. »
Catherine Makereel, «L’errance de l’hippocampe»: bienvenue dans l’hôtel (très) particulier de Point Zéro, dans Le Soir, le 02.11.2021

Le Rideau de saison, Maak & Transmettre · photo : Lucile Dizier, 2024