L'Avenir
Nature II
Magrit Coulon
Frappés par le mal de vivre, des individus échouent entre les murs d’une institution vieillissante : L’Avenir.
Frappés par le mal de vivre, des individus échouent entre les murs d’une institution vieillissante : L’Avenir.
Verbe saillant et corps éloquents composent un diptyque où la parole finement dressée précède et se conjugue à une physicalité puissante.
Foncièrement populaire et ludique, leur cabaret de carton donne à voir la force et la magie de cet art éphémère, et sa poétique fragilité.
Dans une démarche de reconstruction de sa relation à son corps porteur de handicap, Dan Daw fait un pied-de-nez à la honte avec laquelle il a grandi.
Une danse mythique qui tire son nom de la figure du jeune héros shakespearien dans un chœur de singularités.
Festival de théâtre et de danse jeune public où les enfants, les adolescent·es, les parents et les grands-parents peuvent (re)découvrir l’art vivant.
Émilienne Flagothier et son équipe complice orchestrent une réponse cathartique aux micro-agressions sexistes qui jalonnent leur quotidien.
Une odyssée où slam, rap, krump et hip-hop se rencontrent pour faire dialoguer toutes les strates de la vie urbaine.
Sur ce morceau de terre, la fiction et le théâtre serviront de miroir et de révélateur au prince du Danemark.
Quatre siècles les séparent, une bouteille de liqueur les réunit.
Un cocktail euphorisant de complicité, fragilité, ténacité.
Dans la performance où politique et rituel s’entremêlent, Zora Snake embrasse le sujet de la restitution des objets rituels considérés comme œuvres d’art et volés pendant la colonisation.
De l’écran à la scène, Lola Arias raconte l’histoire poignante de femmes et de personnes transgenres incarcérées à Buenos Aires, à qui la musique offre délivrance et rédemption.
Le son, les matières et les corps s’assemblent pour composer une succession de paysages oniriques, des « monochromes dynamiques ».
MàD, comme les Mots à Défendre, tendance « mad », fou, outsider, hybride, audacieux et festif. MàD comme le festival transdisciplinaire qui nous parle !
Avec beaucoup d’auto-dérision, elle partage dans une adresse franche et directe au public, des confessions intimes truffées d’anecdotes savoureuses.
Anima se déploie sur trois écrans géants, offrant des paysages en perpétuelle mutation.
Que disent de nous notre prénom et notre nom ? De quoi notre nom est-il le nom ?
Dans un jeu d’équilibre délicat, la mise en scène orchestre un questionnement profond sur la nature de l’art et sur la manière dont il façonne nos vies.
Et si on disait qu’on avait dix ans ? Et si on se rencontrait à ce moment-là, pour jouer, se confier et rêver en grand ?
Face à la finitude de nos existences et de l’Univers tout entier, trouver du sens ne semble possible pour Simon Thomas que dans l’art et le jeu.
En cette ère de libération de la parole des femmes, Michael De Cock et Carme Portaceli transforment Emma Bovary en une héroïne d’émancipation.
Pour donner à voir et à entendre des histoires vraies ou imaginées qui toutes racontent notre monde.
Avec la Maison Gertrude, le théâtre s’élargit à la mesure de la ville et du monde, de l’univers infini des langages artistiques, en ouvrant une brèche dans la vie des lieux qu’on croit fermés.
Comment habite-t-on l’institution ? Et en quoi nous habite-t-elle ? Comment un corps y entre ? Peut-il en sortir ?
Ses spectacles sont toujours des partitions pour grands groupes et font énergiquement apparaître la force du collectif.