Skatepark
Mette Ingvartsen
Avec un groupe de skateur·ses et de danseur·ses toutes générations confondues, la chorégraphe explore la vitesse et l’énergie du mouvement sur roues dans un décor époustouflant.
Le stand-up est un genre comique où un·e humoriste seul·e, sans décor, sans accessoire et littéralement « debout » devant les spectateur·ices, s’adresse directement au public à travers des anecdotes souvent issues de son histoire personnelle. Longtemps dominé par la présence masculine blanche, le stand-up se veut aujourd’hui beaucoup plus inclusif, voire intersectionnel, cherchant ainsi à s’adresser à l’ensemble de la société.
Le slam renouvelle les codes de la poésie engagée. Au service d’idéaux ou de convictions fortes, la poésie slam puise dans le vocabulaire familier. Ce qui y domine surtout, c’est l’importance de la rythmique et le jeu sur les sonorités. Les auteur·ices de slam sont souvent interprètes de leurs créations, leur permettant de donner de la portée à leurs engagements.
Le krump fait partie des danses hip-hop. C’est l’acronyme de «Kingdom Radically Uplifted Mighty Praise» que l’on pourrait traduire en français par : « élévation du royaume par le puissant éloge ». Cette danse est née dans les années 2000 dans les ghettos de Los Angeles. Plus qu’une danse, le krump se veut un message spirituel. Composé de mouvements en tension, ce style se démarque par une intensité maîtrisée, et par l’expression d’émotions comme la joie, la colère ou la frustration. Il s’agit de faire sortir sa voix et d’articuler à travers le corps ce qui ne peut être crié.
Avec un groupe de skateur·ses et de danseur·ses toutes générations confondues, la chorégraphe explore la vitesse et l’énergie du mouvement sur roues dans un décor époustouflant.
Hendrickx Ntela dénonce l’aveuglement des citoyen·nes, nourri par un système générateur de désirs inatteignables. Cinq danseur·ses font face à une même histoire dans différents endroits du monde.
Dans ce seule en scène au style unique, Laurène Marx raconte son histoire de femme trans. Elle nous fait part des questionnements que la société impose au parcours des personnes qui tentent de fuir la binarité.
Un spectacle tissé de poésie engagée qui raconte les chemins que l’on emprunte pour échapper à la violence. Celle qui pousse à se recroqueviller, à prendre la route, à écouter les rides de nos corps tourmentés.