Magrit Coulon offre l'expérience du vide. Mais un vide beau, touchant, et nécessaire.

Léa Dornier, "L'Avenir" de Magrit Coulon: pourquoi n'arrive-t-on plus à se parler?, L'Echo, 16.11.2024

La force de L’Avenir réside dans cette invitation à ralentir, à habiter le temps différemment, à accepter l’inconfort pour mieux saisir les éclats de beauté cachés dans l’ordinaire.

Louis Thiébaut, Au Théâtre National, "L’Avenir" propose une ode à la solitude et au temps suspend, RTBF, 15.11.2024

Lumineux et inventif, il est porté par une excellente distribution. Raphaëlle Corbisier, Emmanuelle Gilles-Rousseau, Marianne Hansé, Romain Pigneul, Jules Puibaraud et Claire Rappin maîtrisent la chorégraphie de leurs corps et de leur présence avec un sens de l’économie qui touche souvent au burlesque.

Gilles Bechet, Critique théâtre: Magrit Coulon sort l’ennui de la monotonie, Bruzz, 14.11.2024

Magrit Coulon (...) parvient à nous happer dans ce monde en suspension où l’humour, très présent, n’empêche jamais l’empathie avec ces êtres confits de solitude, absents au monde et tentant, malgré tout, d’y participer, à leur façon.

Jean-Marie Wynants, « L’Avenir », un monde à bout de souffle ***, Le Soir, 12.11.2024

Comme dans Home, le précédent spectacle de Nature II dans lequel de jeunes interprètes donnaient vie à des personnes âgées, L’Avenir fait l’éloge de la lenteur, du langage du corps qui comble les silences. Ici aussi, la prestation des comédiens est remarquable.

Stéphanie Bocart, « L’Avenir »: Est-on jamais vraiment seul ?, La Libre, 12.11.2024