Un monde à part où l’on entre comme dans un rêve et qui donne à la Cour d’Honneur un air de douceur et de plaisir partagé qu’on lui a rarement connu.

Jean-Marie Wynants, Festival d’Avignon : les ondulations infinies de Trajal Harrell, Le Soir, 24.07.2023

Après une douzaine de créations, The Romeo, à l’affiche de la Cour d’honneur du Palais des papes, prend la mesure de l’immensité de cet espace vertigineux avec un casting exceptionnel de quinze interprètes, dont Harrell lui-même. Cette invitation, « une surprise et un rêve »,selon l’artiste, a ouvert les vannes d’un désir de mettre en scène une figure mythique, celle de Roméo, dans ce lieu-réceptacle d’images et de récits multiples qu’est le Palais des papes.

Rosita Boisseau, Festival d’Avignon : Trajal Harrell, un Roméo postmoderne dans la Cour d’honneur, Le Monde, 17.07.2023

Présenté pour la première fois dans la Cour d’honneur, Trajal Harrell invente pour son Romeo une danse de et pour tous et toutes, qui aurait traversé les âges comme les paysages. 

Delphine Baffour, « The Romeo » de Trajal Harrell, une danse éternelle et rassembleuse, La Terrasse, 20.07.2023

Poussant à son paroxysme la logique du défilé sur ce catwalk d'exception, le chorégraphe offre à la cour un ballet éminemment accessible et généreux, une révérente et puissante dédramatisation.  

Marie Baudet, Festival d'Avignon: Trajal Harrell fait vibrer la cour d'honneur en multipliant la figure mythique de Roméo, La Libre, 19.07.2023