Un garage où on triture la mécanique du réel. Angoissant. Captivant.

Aurore Vaucelle, Au Garage inventé, le patron préfère-t-il sa femme ou sa voiture ?, La Libre, 24.09.2024

Claude Schmitz continue de creuser le sillon qu’il avait entrouvert avec son film Lucie perd son cheval. Au long d’un vrai-faux songe horrifique, tel un conte aux allures de thriller, il interroge les modalités du récit, la fabrique de l’art dramatique et les motivations de ses artisans.

Vincent Bouquet, « Le Garage inventé », ou la belle mécanique du théâtre, ScènesWeb, 23.09.2024

Claude Schmitz compose une chimère étonnante, un monstre imaginaire qui raffole des détours fantasques mais finit tout de même par terrasser un fameux dragon, à l’image de Lucie qui, à la fin de la pièce, plante son épée dans la tôle du tacot criminel, la fameuse Dodge Charger, symbole au gasoil du patriarcat.

Catherine Makereel, Au Théâtre de Liège, « Le Garage inventé » dérègle la mécanique du patriarcat, Le Soir, 23.09.2024