Liebestod
Angélica Liddell
Comme on tient une note, Richard Wagner et la figure du torero révolutionnaire andalou Juan Belmonte se raccordent à l’histoire comme des cercles concentriques au portrait de la femme artiste en quête d’un absolu tragique.
«Liebestod»: Angélica Liddel transforme le Théâtre National en arène, dans Sudinfo, le 16.01.2023
J'ai toujours considéré la scène comme un espace sacré. Un lieu où l'on transcende, où l'on doit relier l'humain au monde des dieux. Pour moi, la scène me transforme, elle me met dans un état de transe où les monstres intimes se libèrent.
Guy Duplat, À chaque spectacle, Angelica Liddell joue sa survie, dans La Libre, le 16.01.2023
Je cherche l’instant sublime, la transfiguration, l’enthousiasme débordant, l’éclat et la lumière, ce transport lyrique qui a lieu quand on aime.
"Liebestod" au Théâtre National : L’odeur du sang ne me quitte pas des yeux, dans RTBF Culture, le 09.01.2023
Angélica Liddell s’est rarement aussi peu dévêtue, mais a rarement été aussi à nu. Sans fard, ni artifice. En un mot, bouleversante.
Vincent Bouquet, Liebestod : la crise de foi d’Angélica Liddell, dans Sceneweb, le 12.11.2022
« Liebestod » est un manifeste artistique en forme d'immolation. Angélica Liddell rejette la tiédeur, la bienséance, les conventions et les codes policés de notre temps.
Philippe Chevilley, Angélica Liddell, l'amour à mort, dans Les Echos, le 10.11.2022
Horripilante et bouleversante, Angélica tend au public sa cape écarlate, sa langue rugueuse appuyant là où elle fait mal : fustigeant notre matérialisme sans or, moquant notre frilosité bien-pensante, déroutant nos représentations de l’humain, des corps, du théâtre, de l’art…
Delphine Urban, Liebestod d’Angélica Liddell : La bête à ses démons, une déclaration. Sa déclaration, dans Diacritik, le 09.11.2022
L'artiste espagnole présente un spectacle irradiant au romantisme profond et radical, tendu entre terreur et douceur, séduction et menace.
Critique théâtre : "Liebestod" d'Angélica Liddell, à voir au Théâtre de l'Odéon et en tournée, dans un podcast de France Culture, le 08.11.2022
Jouant dans l’arène à la vie, à la mort, dans ce très beau Liebestod, elle cherche les sacrés de l’homme qui sont la naissance, le sexe et la mort.
Guy Duplat, A chaque spectacle, Angelica Liddell joue sa survie, dans La Libre Belgique, le 09.07.2021