Passer au contenu principal
Théâtre National Wallonie-Bruxelles

Revue de presse

On est sauvage comme on peut

ⓒDominique Houcmant

"La passion, l’amour, la solitude, la mort, la folie, beaucoup de thèmes alimentent cette soirée jubilatoire qui ne cesse de surprendre. Une belle énergie se dégage des dialogues ancrés dans l’improvisation qui intègre le public avec beaucoup de naturel. Des acteurs talentueux qui nous offrent une prestation touchante comme en témoignent les petits gestes de Léa (Romagny) pour protéger son Thomas. En un mot, on est pour !"
Catherine Sokolowski, Au diable les limites !, dans Demandez le Programme, le 26.01.2020

 

"On est bousculé doucement, titillé par ces images qui viennent nous rappeler à la sauvagerie de nos rêves et l'étrangeté de nos désirs. Ces images là ne collent pas avec nos habitudes, elles nous dérangent, et c'est ce qui fait tout l'intérêt de ce spectacle."
Willie Boy, On est sauvage comme on peut, dans Theatrorama, le 28.07.2019

 

"Il faut d’ailleurs saluer les belles personnalités des comédiens qui s’expriment tout au long du spectacle. Une histoire folle de cannibalisme mondain, métaphore d’un monde bouffé par les conventions sociales, qui nous interroge sur notre capacité à rompre avec le politiquement correct et à plonger tête la première dans un grand bain d’absurde, imprévisible et inédit."
Luis Armengol, Sélection du Off Avignon, dans l'Artvues, le 25.07.2019

 

"La démonstration est implacable. Elle nous interroge sur nos propres démons et étrangetés, sur ce qui se refoule (à tort ?) par bienséance en société et nous montre combien la frontière est ténue pour tomber de l’autre côté. L’effet produit est imprévisible et multiple. Certains expulsent par un rire jaune ou se libèrent en riant aux éclats quand d’autres en sortent totalement ébranlés. Tout dépend de son propre rapport à la folie. À expérimenter !"
Marie Velter, On est sauvage comme on peut », dîner cathartique !, dans Le Bruit du OFF, le 24.07.2019

 

"S’il est avant tout question dans ce spectacle du besoin de se sentir vivant, de ne pas se laisser happer par les convenances et la routine de vivre, souhaitons donc que le collectif Greta Koetz poursuive son travail dans la direction qu’il rejoint in fine, du déraillant et de l’inédit."
Eric Demey, A table avec le Greta Koetz, dans Sceneweb.fr, le 19.07.2019

 

"Expérience incroyable donc que la traversée de ce spectacle si intelligent, si drôle, et si bien mené et joué. Exaltant, fin, profond aussi et très intense. Alors que vive la sauvagerie :après tout… On est sauvages comme on peut."
Louise Rulh, On est sauvages comme on peut par le Collectif Greta Koetz, dans L’alchimie du verbe, le 19.07.2019

 

"Allez-y si vous aimez :
- Les créations originales
- Les spectacles sans tabou
N’y allez pas si vous n’aimez pas :
- Lâcher prise
- Les dérapages"
On est sauvage comme on peut : une farce sans limite, dans L'étoffe des Songes, le 15.07.2019

 

"Le texte est d’une finesse délicieuse, surprenant à souhait, tout autant que le déroulé de l’action et l’inclusion, laissant planer un doute, d’une cinquième présence (Sami Dubot), muette. À voir d’urgence !"
Walter Géhin, On est sauvage comme on peut, au Théâtre des Doms, dans Plus de OFF, le 14.07.2019

 

"L’intelligence des Greta Koetz est de ne pas l’avoir circonscrite à un périmètre étriqué et surmentalisé : car le sauvage s’exprime d’abord par le corps – qui ne triche pas, dit-on –, et cette expression manque souvent chez les émules chiendenavarresques issus de cette tradition théâtrale d’une écriture de plateau à la fois comique, crue et surréaliste."
Mathias Daval, On est sauvage comme on peut, dans I/O GAZETTE N°102, le 13.07.2019

 

"On rit beaucoup et souvent jaune avec ces comédiens du conservatoire de Liège, dont Léa Romagny déjà vue en 2018 dans le délirant J'abandonne une partie de moi que j'adapte. Une belle écriture de plateau coupée au couteau."
Olivier Ubertalli, Festival d'Avignon : 12 pièces de théâtre à voir dans le Off, dans Le Point.fr, le 12.07.2019

 

"Une farce qui tend vers l’humour noir et la provoc, un délice pour les comédiens et les spectateurs qui s’interrogent bien après la fin, sur leur rapport à la réalité et la frontière ténue qui les sépare de la folie."
Anne Verdaguer, Avignon OFF 2019 : « On est sauvage comme on peut » au théâtre des Doms, dans Toutelaculture.com, le 09.07.2019

 

"Une exultation de la vie, la même qu'on ne sait par quel bout prendre pour y rester pleinement."
Floriane Boulghobra, On est sauvage comme on peut (implosif), dans LaProvence.com, le 05.07.2019

 

"L'ensemble tient en effet ici d'une certaine idée de la folie qui n'est autre qu'une bête en sommeil. Son réveil est explosif."
Nicolas Naizy, Critique théâtre: Jeunes pousses sauvages, dans Focus Le Vif, 04.02.2019

 

"La logique de la folie, assaisonnée d’humour et de paradoxale joie de vivre, dégage une belle énergie de jeu, que le clavecin et l’accordéon de Sami (Dubot) rythment en douceur. Épatant (qui épate) !"
Christian Jade, " On est sauvage comme on peut " : l’amour cannibale ***, dans RTBF, le 21.02.2019

 

"Jusqu’au chant final, sur un champ de bataille ménagère dévasté, alliant étrangeté, musicalité, poésie et ultime pirouette."
Jean-Marie WynantsRéveiller le sauvage qui est en nous, dans Le Soir, le 13.02.2019

Le Rideau de saison, Maak & Transmettre · photo : Lucile Dizier, 2024