MàD¹
Caroline Lamarche
Soudain on a envie de déambuler en stations, de chanter à tue-tête et danser jusqu’à la pointe de la musique instrumentale et de l’électroacoustique.
Soudain on a envie de déambuler en stations, de chanter à tue-tête et danser jusqu’à la pointe de la musique instrumentale et de l’électroacoustique.
Cette lecture en deux voix en forme de manifeste réarticule le constat glaçant de la montée des périls et la puissance explosive d’une réponse collective.
Ici, ce ne sont plus les acteurs qui donnent corps aux voix disparues, mais les personnages eux-mêmes qui reviennent du passé pour nous parler avec leurs voix, leur mélodie, leur timbre et leur souffle.
Une déambulation jouissive sous forme d’adresse à Vié Didier, grand frère en écriture et ami de toujours.
À l’aide d’une grande feuille blanche et d’un jeu de cartes, deux actrices, un philosophe et un poète invitent le public à réfléchir et à créer une cartographie des possibles.
Matière sonore et visuelle prise sur le vif et au plus proche de ses sujets, elle rend visible sous la forme d’un diaporama mis en voix, le quotidien des rescapé·es des inondations de juillet 2021 en Belgique.
Consacré aux alliances délicates entre la vie sauvage et le monde des humains, cette parabole d’une émancipation conjointe étonne, bouscule et touche.
Dans Patua Nou, Dominique Roodthooft s’empare du récit imagé sous la forme d’une déambulation en plusieurs stations pour dessiner de nouvelles histoires reliées à l’exil.
Une performance radio live mêlant poésie, Système solaire et Univers. Un moment cosmique et hors du temps en perspective, pour avoir des étoiles plein les yeux.
Pour faire mémoire des terribles inondations de juillet 2021 en région liégeoise, une lecture à deux voix : celle de David Van Reybrouck et de Caroline Lamarche.
Avec sa finesse légendaire, sa voix de camionneur et ses talons de 10cm, Peggy Lee Cooper va tenter un exercice périlleux : faire cohabiter dans un récital des auteur·ices que tout sépare.
Entre lucidité et fantaisie, radicalité et compassion, l’autoportrait en malade mentale d’Unica Zürn est porté par la voix d’Anne Alvaro.
Au fil des trois enquêtes, trois écritures et trois époques, la sororité y est bouleversante, éclairante, tant elle donne des armes pour lutter contre les inégalités, aujourd’hui.
Dans ce documentaire Alain Platel et Mirjam Devriendt tentent de comprendre les origines de la violence dans nos sociétés.
Soudain on a envie de catcher, de se faire masser, de sonder d’autres façons de dire les mots et les corps.
Des massages littéraires en passant par de la taromancie revisitée et des coins pleins de surprises : il y en aura pour tous les goûts et tous les âges .
Le slam engagé de deux figures de la scène congolaise sur des questions de justice sociale et d’égalité.
La Belgique, le Congo, entrelacs et paradoxes, petite et grande histoire, c’est le Koko Slam Gang qui les érige en fête populaire avec humour et audace.
Inspiré de la Lucha Libro péruvienne, le Catch littéraire propose à des poète·sses en lutte de s’affronter, face à face, sur le ring.
Un mix musiques & récits pour donner à danser ce que l’on vit lorsqu’on est racisée, noire et femme. Comme un vaste dancefloor, rythmé et engagé.
Un espace d’exposition qui questionne l’adoption transnationale, l'arrachement identitaire et l’histoire collective.
Des performances théâtrales et hybrides autour de textes écrits par des chercheur·es et journalistes exilé·es.
L’autrice Claire Olirencia Deville propose aux enfants de 8 à 12 ans d’écrire leur conte de fée personnel.
Entre partage, déconstruction et création, Badi proposera un voyage dans le temps et dans l’espace pour aller à la rencontre de l’autre.
Les autrices nous livrent quelques-uns de leurs secrets, entre mélancolie, combat, langue écorchée et poélitique.
Catholicisme, genre et sexualisation des corps, consommation, Aurélie Olivier dissèque l’enfance rurale qui a été la sienne dans une langue propre à son milieu d’origine.
Pour sa première performance solo, Hashem Hashem nous raconte une histoire double, celle du corps en transition de genre et celle de la ville, Beyrouth, en pleine transformation radicale.
Évitant les clichés, Liquides Lyriques est le battement de l’érotisme qui relance le désir, en questionnant les représentations normatives et célébrant la diversité des corps.
Un voyage, sans frontières de genre, dans les régions du Moyen-Orient & Afrique du Nord et rencontrer des artistes détonnant·es.
Quatre contes qui surgissent de l’imagination haute en couleurs de Claire Olirencia Deville.
Pour un temps sois peu est une histoire de femme trans par le détail, les détails dangereux, cruels, mais réels.
Six autrix queer féministes écrivent l’irreprésentable, l’explicite, le tendre, le brut et l’érotique.