Trois comédiens refusent de prendre leur retraite et embarquent le public dans une cavalcade urbaine et poétique, au-delà des murs du théâtre.
Julien Fournier s’est appuyé sur des récits de vie glanés et des textes poétiques écrits et restitués par Laurence Vielle pour ausculter un monde du travail dont l’exigence confine à l’absurdité.
Inspiré par un texte d’Antoni Tàpies (Le Jeu de savoir regarder), l’atelier invite à une expérience de sens liée aux possibilités/capacités de voir, de regarder, de plonger librement dans les espaces intérieurs.
À travers des scènes de la vie quotidienne mais aussi à travers des récits d'imposteurs, Violette Pallaro questionne les histoires dont nous avons besoin pour être au monde puisqu’en quelque sorte, elles donnent sens à nos vies.
Ode au corps et à ses rondeurs. Libéré du diktat de la norme filiforme imposée par le monde de la danse, les corps se livrent sans fard, bousculant le spectateur dans son rapport à l’opulence.
Des textes sensibles et subversifs, entre chanson et ‘spoken word’. Sous ses airs nonchalants se cache une plume incisive et efficiente. Elle nous parle d’amour, non sans une teinte d’humour dans un décor urbain et sulfureux.
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